Différentes affaires concernant des naturopathes mal formés et peu scrupuleux ont récemment défrayé la chronique.
La FÉNA tient à rappeler que de telles pratiques, bien que très minoritaires, peuvent mettre en jeu la santé du public et déconsidérer l’ensemble de la profession. Ce n’est plus acceptable.
Dans ce contexte, La FENA (Fédération Française de Naturopathie), acteur de référence en matière de qualité de la formation initiale et gardienne des bonnes pratiques de déontologie a décidé :
- De continuer à mettre en place un référentiel de formation unique et de haut niveau, garantissant l’excellence de la formation initiale, s’inspirant des réglementations des meilleures pratiques européennes et mondiales ;
- De confier à un organisme indépendant le contrôle de la mise en pratique de ce référentiel dans toutes les écoles agréées La FÉNA ;
- De faire évoluer son code de déontologie afin de l’adapter aux nécessités propres d’une exigence professionnelle renforcée ;
- De créer en son sein une commission d’éthique de déontologie afin de sanctionner toutes dérives professionnelles.
La naturopathie légalisée dans divers pays européens, est aujourd’hui « reconnue » par le grand public en France. Toutefois, la FENA souhaite aller au-delà de cette reconnaissance et légitimé de fait et, appelle donc de ses voeux une véritable reconnaissance des Pouvoirs Publics.
Telle est notre exigence. Telle est notre mission afin d’accompagner dans l’excellence tous les vrais professionnels naturopathes. C’est une question de sécurité et de santé publique, qu’il est indispensable de garantir pour tous.